• Sur VLR, un débat comique: les bisounours "de gauche" contre la réalité!

     

     

     

     

     

    La France n’a jamais été aussi à droite ? Faux, elle est à gauche !

    mardi 17 septembre 2024, par do (Date de rédaction antérieure : 14 septembre 2024).

     

     

     

    En apparence, la France n’a jamais été aussi à droite ; mais, en réalité, elle est très nettement à gauche. 

    Car, qu’est-ce qu’être à gauche ? Non, être de gauche ne signifie pas être pour la défense des LGBT, ni être pour les trans ou les woke. Être de gauche, c’est avoir conscience qu’il y a d’un côté les exploiteurs et de l’autre les exploités, et se placer dans le camp des exploités. 

    Comme le Front National, rebaptisé "Rassemblement National" pour tromper les naïfs, a eu un excellent résultat aux dernières élections européennes puis législatives, et qu’on pourrait croire qu’il faut ajouter arithmétiquement les voix de droite à celles du FN pour savoir si la France est de droite ; alors, la France semble effectivement très à droite. 

    Mais, ce n’est pas si simple ; car, comme le dit Bruno Drweski à propos du FN : « Le gros de l’électorat du RN est avant tout formé de mécontents. » C’est à dire de personnes qui sont pauvres et ont une parfaite conscience qu’ils sont exploités par les riches. C’est-à-dire en fait par des personnes qui correspondent tout à fait à la définition des gens de gauche. 

    Pourquoi alors ont-ils voté FN ? parce qu’ils n’ont pas encore compris qu’il ne faut pas croire la télé quand elle leur dit que s’ils ne sont pas contents, il faut qu’ils votent FN. Il est bien sûr que ce ne sont pas les médias du pouvoir qui vont leur dire de voter Lutte Ouvrière… 

    Mais, si on regarde l’évolution du résultat de la gauche officielle et du FN, on s’aperçoit que le FN qui devait remporter largement le deuxième tour des Législatives l’a en fait perdu et que la "gauche" l’a en fait gagné. Et cela en seulement une semaine de propagande électorale, pour expliquer ce qu’est en réalité le FN. 

    Si la gauche avait eu plus de temps pour expliquer correctement les choses. Gageons que le FN se serait carrément effondré et que le NFP aurait obtenu la majorité absolue. En effet, les votes FN qui ne correspondent pas à une idéologie d’extrême droite sont largement majoritaires. Et ces mécontents auraient alors voté NFP. 

     

    18 Messages de forum

    • Excellente analyse… comme celles de Bruno Drweski !

      MT

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    • En France en général la droite extrême est arrivée au pouvoir à cause de l’appui d’armées étrangères, 1815, 1871, 1940, alors effectivement, on peut émettre l’hypothèse que l’extrême droite, en particulier dès qu’il apparait clairement quel est son programme social et économique, n’aura jamais la force de parvenir au pouvoir par elle-même. Logiquement donc, dès que le curseur virera clairement à droite, la peuple contrebalancera …sauf si les puissants font appel à un appui extérieur pour imposer une dictature fascisante.

      On verra !

      Bruno

      Répondre à ce message

    • bien dit et bien envoyé

      un bel uppercut

      c’est partagé

      amitiés
      Mohamed

      https://t.me/eppscdz/9575

      Répondre à ce message

    • Au 1er tour le RN fait 29,26% des voix, les Ciottistes 3,96%, soit un total de 33,22%. Au second tour, le RN fait 32,05%, les Ciottistes 5%, soit un total de 37,05%, soit encore une progression en pourcentage de voix de 3,83%, au total, et non pas une régression, et donc pas du tout l’amorce d’un effondrement comme avancé dans cet article.

      Ce n’est que par le jeu des désistements réciproques avec la macronie que la « gauche » semble avoir « gagné » ces élections en sauvant, en réalité, la macronie de sa défaite.

      En récupérant des voix de la macronie la gauche passe de 25,68% à 28,06%, ce qui lui permet de partager plus de sièges avec la macronie et de reléguer le RN au troisième rang en nombre de sièges, sans aucun rapport avec une très théorique « représentativité démocratique ».

      Alors qu’il y a nettement plus de points communs entre le programme du RN et celui du NFP, sur les questions « sociales » qu’avec la macronie.

      RN et NFP, du point de vue des votes « populaires » sont comme le dit « do » deux votes de « mécontentement », l’un s’adressant à la communauté « français de souche » et l’autre à la communauté « français issus de l’immigration », avec en plus, entre les deux « camps » des nuances « sociétales » sur les questions de mœurs, etc…

      Rien à voir avec un réel clivage « gauche/droite » qui serait basé sur des questions de classes sociales dominantes et dominées. Les deux « camps » ne sont en réalité, pour ceux qui les contrôlent politiquement, que deux « clans » de la bourgeoisie en conflit entre eux pour le contrôle du même système de domination sociale.

      Il y a donc en France une majorité de votes « populistes » partagée entre deux types de votes communautaires.

      Soit une impasse complète qui permet néanmoins au système de continuer à se gérer « au centre » en apparence, avec plus ou moins de nuances selon les circonstances, histoire d’entretenir le mythe de la « démocratie » qui n’a jamais eu aussi peu de réalité.

      La classe dominante saborde depuis des décennies l’économie française sur l’autel de la mondialisation, tout en ne négligeant pas de s’enrichir encore, personnellement, pour ses principaux « leaders », au passage. En sauvant les restes de la macronie elle choisit de continuer dans cette voie avec le maximum d’efficacité pour son profit personnel.

      Avec les deux autres blocs il n’y aurait qu’une accélération de la faillite du pays et donc une réduction du butin à se partager. Et y compris pour les « miettes » encore distribuables aux « électeurs populaires », dans tous les cas de figures les dindons de la farce, à la fin de l’histoire du peu qui restera de la France.

      https://www.resultats-elections.int…

      Cet article signé « do » est un gentillet et très amusant conte de fées Bisounours arrangé pour les enfants qui essayent de comprendre la politique française dans les livres d’écoles, qui restent encore très loin de la vie réelle.

      ( Doublon possible : Réponse déjà postée vers 18h15, avant la publication des posts actuels .)

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      • C’est ridicule : tu contredis pour contredire. Tu dis n’importe quoi : Comme si le vote NFP venait seulement des « français issus de l’immigration ». Vraiment n’importe quoi ! Comme si seuls des Blancs votaient Le Pen ! encore n’importe quoi…

        Bien sûr que si, c’est un vote de classe. De même qu’était un vote de classe le NON à la constitution Giscard en 2005, qui avait mêlé des votes de gauche, d’extrême gauche, de droite et d’extrême droite. De même qu’était une révolte de classe celle des Gilets Jaunes que les médias et les syndicats ont traité de fascistes au début.

        Bien sûr que le vote de classe serait mieux exprimé par un vote NFP que par un vote Le Pen, et bien sûr qu’il s’exprimerait encore mieux par un vote LO, et bien sûr qu’il serait encore bien mieux exprimé par un vote de grève générale pour faire un nouveau mai 68. Mais il n’empêche que tous ces votes protestataires qu’ils soient NFP et ou Le Pen sont tous des votes de classe. Je ne parle évidemment pas des dirigeants du NFP ou du RN ou de leurs idéologues dont il n’est pas question ici :

        Regarde cette vidéo : https://mai68.org/spip3/spip.php?ar…

        Répondre à ce message

        • @"do"

          « …tous ces votes protestataires qu’ils soient NFP et ou Le Pen sont tous des votes de classe. Je ne parle évidemment pas des dirigeants du NFP ou du RN ou de leurs idéologues… »

          Le post en réponse dit :

          « RN et NFP, du point de vue des votes « populaires » sont comme le dit « do » deux votes de « mécontentement », l’un s’adressant à la communauté « français de souche » et l’autre à la communauté « français issus de l’immigration »,… »

          « deux votes de « mécontentement » » dirigés contre un même système, mais manipulés par les « idéologues » du NFP et du RN, sont-ils autre chose que des votes de protestation, sans objectif politique réel ?

          Un vote de protestation populaire, qu’il soit RN ou NFP, est donc un « vote de classe » en tant que suffrages exprimés venant des classes populaires, mais cela n’est pas contradictoire avec le fait qu’il s’agisse dans les deux cas d’un vote communautaire, ce que toutes les études sur le sujet confirment : l’ouvrier « français de souche » vote RN, l’ouvrier « français issu de l’immigration » vote NFP.

          Le vote LO est en train de disparaître du fait que ce mouvement ne s’est pas positionné clairement sur ces questions, ni sur aucune de celles ressenties comme urgentes par les classes populaires. Sur les médias il n’est pas davantage ostracisé qu’à l’époque où il faisait autour de 5% et l’ensemble de la mouvance trotskyste autour de 10%. Mouvance qui a donc passé son heure.

          Croire que tous les votes de protestation pourraient se regrouper sur le NFP ou sur LO, c’est vraiment faire preuve d’une naïveté énorme.

          Aucun des partis actuels n’est capable de dépasser la division communautaire. Le NFP et le RN en on fait leur fond de commerce et LO n’évoque même pas cette problématique sauf pour en nier les causes réelles, d’où sa chute dans les oubliettes de l’histoire.

          Mais ce qui est grave, dans cet article, cela reste de nier la réalité des résultats électoraux et le fait que la « France électorale » est divisée en trois « blocs » dont aucun n’est majoritaire, mais dont le premier, en nombre de voix et en homogénéité politique est bien actuellement le RN.

          C’est une réalité factuelle.

          De Villepin propose un gouvernement d’union nationale dans le genre de celui de 1944. Pour l’instant c’est bien la seule possibilité pour sortir de la logique des blocs et du blocage qu’ils imposent par leurs divisions. Gouverner avec un seul bloc ou même deux contre un seul, surtout si c’est le premier en nombre de voix, cela ne peut mener qu’à l’échec.

          Répondre à ce message

            • @ "C’est toi qui y est…!" : là, c’est déjà le niveau argumentation dans la cour de récré à l’école primaire… Après les Bisounours, deux semaines après la rentrée, c’est déjà un effort !

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              • Qui c’est qui parle de communauté sinon toi ?

                Répondre à ce message

                • @ « C’est toi qui y’est… ! » Lapsus très amusant et très révélateur : « Qui en parle sinon toi ? »… Ce qui logiquement veut dire qu’il ne faudrait tout simplement pas parler de ce qui est… ! Surtout ne pas parler de la réalité… ! Soit le principe même du « tabou » et du non-dit. Ce qui bloque précisément l’évolution de toutes les sociétés archaïques et obscurantistes. Le déni de la réalité communautariste de la société française est donc devenu une nouvelle religion pour les derniers résidus de la « gauche » française qui se cramponnent à de prétendues « valeurs humanistes » qu’ils ont eux-mêmes contribué à détruire en niant cette évolution communautariste depuis des décennies. Laïcité et intégration aux oubliettes depuis un demi-siècle, pour la gauche française : on voit le résultat !

                  Répondre à ce message

                  • Quant on veut expliquer les choses essentiellement avec le concept de "communautés" on est communautariste

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                    • Quant on ne sait pas lire et encore moins réfléchir on ne comprend pas ce qui est écrit, ni la logique la plus élémentaire qui en découle : le post constate simplement que le vote des classes populaires est divisé par le communautarisme précisément institué à cette fin par les partis systémiques, qu’ils soient de gauche ou de droite, et surtout par leurs politiques successives au fil de leurs alternances au pouvoir, depuis un demi-siècle, aussi bien de gauche que de droite, et avec un double jeu encore évidemment bien plus vicieux et hypocrite de la part de la gauche, qui continue à jouer avec le feu du populisme et du racisme.

                      Faire le constat que la société française est divisée en classes, ce n’est pas exprimer un soutien à un système social de classes antagonistes.

                      Faire le constat que la société est divisée en communautés, ce n’est pas exprimer un soutien à un système communautariste entretenant les antagonismes communautaires.

                      Comprendre l’un comme l’autre raisonnement implique d’avoir été un tout petit peu au delà du cours préparatoire à l’école primaire : après les bisounours et la rhétorique de la cours de récré, il vous reste donc encore un petit effort à faire… Au prochain post, peut-être ?

                      Répondre à ce message

                      • Il est complètement faux de dire qu’une communauté a voté NFP et une autre Le Pen.

                        « Faire le constat que la société est divisée en communautés, ce n’est pas exprimer un soutien à un système communautariste entretenant les antagonismes communautaires » dis-tu.

                        Je dis seulement que sur ce sujet tu raisonnes en terme de communautés et que tu es incapable de faire autrement. Ce qui signifie tu as un raisonnement communautariste. Tu fais ça uniquement parce que tu ne veux pas que le raisonnement de do soit vrai. Mais il l’est pourtant. Tout autant que l’était son raisonnement quand il avait prévu contre tout le monde que le NFP sortirait en tête au nombre de députés au second tour des législatives.

                        Et oui, les gens qui ont voté Le Pen se sont trompés de vote par méconnaissance de ce parti. Et oui, si la gauche fait le boulot d’éducation nécessaire sur l’histoire de ce parti, il va s’effondrer. Mais on dirait que tu ne veux pas que ce soit le cas.

                        Répondre à ce message

                        • Malheureusement, question niveau on en revient toujours @« C’est toi qui y’est… ! »

                          Le constat évident est bien que le "raisonnement de do" est complètement faux, tout simplement parce que ce n’est pas un "raisonnement" mais une falsification grossière de la réalité des chiffres électoraux :

                          https://mai68.org/spip3/spip.php?ar…

                          https://www.resultats-elections.int…

                          De même la division communautaire actuelle de la société française est une réalité aussi évidente que sa division en classes sociales.

                          Et une "analyse" qui refuse de voir le lien entre les deux problématiques est évidemment nulle dès le départ.

                          Dans un post de quelques lignes, il ne s’agit pas d’y faire rentrer une analyse sociologique complète, mais simplement de résumer les grandes tendances qui sont communes à toutes celles qui ont analysé la question depuis des années.

                          Donc NON, "Il N’est PAS complètement faux de dire qu’une communauté a voté NFP et une autre Le Pen". C’est ici un raccourci nécessaire et suffisant dans un post pour résumer la question sur ce point : celui de la division de l’électorat populaire.

                          Donc contrairement @« C’est toi qui y’est… ! », je reste capable de faire et une analyse de classe et une analyse sociologique du communautarisme.

                          A ces deux problématiques vient se superposer le jeu politique des trois blocs actuellement constitués et dont le bloc RN-Ciottiste est resté le plus fort en nombre de voix aux élections législatives, que ça nous plaise ou non.

                          Rassembler l’électorat populaire implique actuellement une "alliance" NFP-RN, dont aucun des deux ne veut… La quadrature du cercle vicieux…

                          Seul Dominique de Villepin propose un gouvernement d’union nationale qui n’excluerait personne. C’est la seule façon, dans un premier temps, de dépasser le clivage communautaire, et donc, même si ce n’est pas sa pensée, de retrouver, sur le terrain, le chemin de la lutte de classe.

                          Avec un raisonnement primaire type "C’est toi qui y’est !", c’est pas gagné !

                          Répondre à ce message

      • Je suis d’accord avec ton analyse. Exemple : j’ai voté aux européennes Manon Aubry (LFI) et aux législatives Lisette Pollet (RN) dans ma circonscription. Pourquoi ? parce que je me suis engueulé avec un "camarade" qui vote NFP sur des questions sociétales. Lui soutient les minorités genre LGBT, migrants, etc. et met au sommet des priorités politiques la question du dérèglement climatique. La lutte des classes est le cadet de ses soucis (normal ! sa retraite avoisine les 4 000 euros net mensuel et il est propriétaire d’un pavillon). Moi, 1 200 euros et reste locataire, prolétaire malgré ma retraite. Ce sont deux votes populistes qui se sont opposés et affrontés et non ajoutés contre le gang néo-libéral au pouvoir au détriment des masses populaires, petite-bourgeoisie incluse. Jamais la formule soixantehuitarde "Elections piège à cons !" n’a été aussi vraie ! Nous avons été manipulés de tous les côtés par des escrocs. Un nouveau front populaire bidon, un front républicain bidon et une victoire électorale toute aussi bidon ! La preuve : c’est un parti minoritaire (LR) qui forme, aujourd’hui, le gouvernement sous la surveillance - de loin bienveillante - du rassemblement national. Le seul vainqueur politique, à mon humble avis, est le tycoon de la presse française, Vincent Bolloré qui a réalisé son projet : l’union des droites.

        Répondre à ce message

    • Population ou électorat ?16 septembre 02:20, par Damien Morgan Costy

      plus de la moitié de la population ne vote pas alrs se baser sur les résultats électoraux pr en déduire les opinions politiques de l’ensemble de la population du pays n’a guère de sens…

      Répondre à ce message

      • Population ou électorat ?16 septembre 02:26, par Arlette

        Cette fois-ci, ils ont voté :

        https://www.lemonde.fr/politique/ar…

        Législatives 2024 : le taux de participation au second tour s’élève à 66,7 %
        Les Français se sont davantage mobilisés qu’au premier tour. Il s’agit de la plus forte participation lors d’un second tour, depuis 1997, année d’élections législatives après une dissolution sous la présidence de Jacques Chirac.

        Répondre à ce message

    • La meilleure analyse de gauche du coup de force macaronesque que j’intitulerais "Les Elections ne valent rien ; vous aussi !"

      https://www.frustrationmagazine.fr/…

      Répondre à ce message

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